ils viennent pour qu’il y en ait un et un seul –
rudes et se bousculent, depuis le port vétuste
leur ennui brouillon viennent étouffer –
se séparent au seuil des maisons colorées
une volute occupe seule l’espace là-bas
sinon une canne et un chapeau : un homme marche
il n’est de forme que haute : son haut-de-forme
et ces rues pentues que l’ombre découpe, brute
©Robert Bereny, 1928
ils viennent, encore, pour qu’il n’y en ait qu’un,
drus serrés comme semés avec irraison
des engins de levage aux pattes fines, bleus,
jaunes ensemble, pour que je te voie, le mot