comme ça vient : de l’impossible toujours possible
une note après l’autre : le beau s’est éloigné
crainte de l’abaissement : la catastrophe a déjà eu lieu (Winnicot)
le blabla de l’être-là : est là. est, en ce sens, là.
il ne s’agissait pas de cela : alors de quoi ?
par temps de – – – – – – – remplacer les tirets par un mot
texte à trous : il l’est toujours, puisque la langue l’est, trouée
nous dirions encore : quel est ce nous ? (hein ?)
ce ne sont pas des notes : non, c’est un semblant
voici des notes : qu’auriez-vous pensé de la finitude ?
L’angoisse est une disposition affective qui remplit la fonction de ménager à l’être-là une ouverture vécue et primordiale pour l’être-pour-la-mort.
L’angoisse se distingue des autres dispositions affectives en ce qu’elle met le Dasein en présence du non-étant.
L’angoisse désigne le sentiment de la situation où intervient l’épreuve authentique de la finitude.
(notes extraites de La notion de finitude dans la philosophie de Martin Heidegger,
Henri-Charles Tauxe, L’âge d’Homme, 1971)
le beau s’est éloigné : on regarde le bleu
on regarde en l’air : on lève, on relève ? on révèle ? on rêve ?
comme ça vient : le blabla de l’être-là
[autres rognures de notes]