le vide est arrivé, vite arrivé il était déjà là
retrouvé sans faillir, et ses frivoles insectes
au bruit dont les sens repèrent l’ineffable
répétition à croire l’été, du vide séparés
sans aucun jamais, sans aucune obscurité
alors que dans les courants d’herbe
bruissent cinglantes des cigales soucieuses,
l’ineffable vide répété, ce vide soucieux
pleutrement réparé organise l’idée
que les corps épuisés épousent l’été (…)