Il y a une forme.
Il y a des coïncidences.
Il y a du sens.
Et c’est un bien-être. Un bien-être au jasmin. Oui.
Vous êtes dans un jardin et vous respirez. Respirez bien.
Il n’y a pas de conséquences à respirer ce jasmin.
C’est très simple à comprendre : un petit groupe discute, d’accord avec lui-même.
À la lisière du petit groupe, un ou deux individus ne trouvent pas leur place.
Ils s’ennuient. Ils vont faire un tour.
Après les moments intenses, il y a des moments plats.
Au début, c’est inacceptable.
Puis ce n’est ni acceptable, ni inacceptable.
Intermède : un jour, la mer. Ça ne se décide pas.
C’est un aller-retour. La mer ennuie aussi.
Il y a des sens interdits près de la mer.
Quelque chose d’un visage n’existe plus.
Tous les visages disparaissent.
Éviter l’excès dans la description si possible.
Il y eut quelqu’un. Son visage existe toujours.
Cependant son être disparaît.
Combien de zigzags faut-il emprunter pour arriver ?
Il y a une forme.
Il y a des coïncidences.
Il y a du sens. Jusqu’au moment où plus.