quand c’est parti : un rien, une note, un rayon
quelque chose de l’infinitésimale modification
de la lumière et de l’étant
une approche majeure du retomber sur ses pieds
que seule procure l’avancée de la partition
suivie par l’instrumentiste
et les accents, et les attentes, les soupirs,
l’immense joie du suspens, quand suspendues
les notes, les rayons
diviseront les éclats du temps, parce que
n’est-ce pas, quoi d’autre que le temps,
quoi de plus explicite ?
si insupportable dans sa nappe intégrale,
son manteau lisse, qu’il faille le déchirer
et le disséminer, encore.